En ce 11 septembre…

Ah, aujourd’hui, nous sommes plutôt le 12 septembre, année 2018. En fait, j’avais voulu écrire un article, hier, jour où le monde entier disait Non au terrorisme par la journée mondiale de lutte contre le terrorisme. En 2001… Je pense que vous savez. Sinon, vous découvrirez.
Hier comme je l’écrivais, j’avais voulu écrire… La preuve, j’ai fait une ébauche sur Facebook. J’avais le temps ! Un jour compte 24 heures quand même ! Et les heures sont passées. Et je m’occupais de mon bébé (oui-oui, la fameuse excuse dira-t-on, pourtant vraie). Entre les couches, les câlins, les sommes… 23 heures. Ah… je pourrai quand même écrire… Et puis, quand j’ai regardé ma montre, alors que je me dirigeais vers la salle d’eau, il était 00h04. Mon fils ne dormait pas encore, moi non plus. Je n’avais même pas encore pu prendre ma douche d’avant dodo !
Bon. Ça va là.
En ce 11 septembre (hier) jour de commémoration des attentats dans le pays dit n°1 du monde, je pensais à toutes les victimes du terrorisme. Toutes les victimes de terrorisme. Toutes les personnes terrifiées, qui vivent la terreur, qui vivent dans la terreur. Victimes au niveau mental, victimes au niveau physique, à toutes ces personnes vivantes mais mortes, ces morts-vivants, à tous ces morts.
A ces vies naissantes que nous avons étouffées.
Tous les bébés tués.
A ces personnes manipulées, en amour, sur le plan professionnel…terrorisées. Ces personnes sous emprise d’autres personnes, ces personnes menacées.
Aux femmes qui subissent des violences.
Aux hommes.
A tous ceux qui n’ont pas la paix.
A toutes les personnes tuées.
A mon Afrique…
Ah mon Afrique!
Nous sommes en fait, plus visés que nous ne pouvons l’imaginer.
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